Je vous l’annonce d’entrée de jeu, je n’aurai pas grand-chose à dire sur ce roman. Même en faire un résumé cohérent ne me vient pas facilement. C’est ce qui arrive lorsqu’on ne parvient pas à embarquer dans l’univers que l’on nous propose.
Judas, c’est ça pour moi. Ce n’est pas que le travail de Tassia Trifiatis soit mauvais. Malgré certaines petites maladresses qui auraient pu être évitées, l’écriture est tout à fait correcte. Le contexte et les personnages assez bien esquissés. Mais ça ne lève pas. C’est peut-être au niveau de l’histoire que ça accroche.
Je n’ai pas eu beaucoup d’intérêt à suivre l’espèce d’errance du cœur que vit Neffeli après son avortement. Grecque d’origine vivant à Montréal, elle s’embarque dans une relation bizarre avec Yéhouda, un jeune homme juif tiraillé entre ses pulsions profondes et le dictat de sa religion. Les différences culturelles sont bien démontrées. Le contexte nous rappelle Hadassa mais en beaucoup moins bon, faut-il à juste titre le préciser.
vendredi 15 février 2008
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1 commentaire:
Je vois que toi, tu as fait ça rondement! Moi, j'ai eu tant de mal avec ce bouquin que je tenais à bien expliquer ce qui m'avait tant déplu! J'ai eu envie de faire court, mais j'ai fait plutôt long!
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